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La TWIKE 5 est-elle vraiment plus efficace au quotidien que la TWIKE 3, bien que la nouvelle propulsion soit plus de 10 fois plus puissante et que le couple soit nettement plus élevé ?
Le fait que l’aérodynamique ait une influence décisive, en particulier dans la plage de vitesse supérieure, a déjà été mis en lumière dans des rapports précédents et accompagnera nos développeurs jusqu’au lancement de la production en série. Mais l’efficacité accrue de l’entraînement synchrone et de l’électronique de puissance plus moderne est pour beaucoup dans cette baisse de la consommation. Nous examinerons ce nouveau système d’entraînement du TWIKE 5 plus en détail dans un prochain article.
Dans les lignes qui suivent, nous allons montrer comment l’interaction de toutes les propriétés et composants optimisés se répercutera sur une éventuelle utilisation extrême. Il pourrait s’agir, par exemple, d’un voyage de vacances, en plus des trajets quotidiens habituels pour se rendre au travail, dans le but de parcourir la plus grande distance possible en un minimum de temps. Les événements à forte visibilité, comme le e-CannonballLes rallyes de ce type, par exemple, demandent à leurs participants de parcourir de telles distances en un minimum de temps et avec des arrêts de chargement aussi courts que possible. Mais aussi l’e-Rallye durable RIVE Maroc au Maroc est basé sur l’efficacité des véhicules participants.
Image : Oschersleben Racetrack (Source : TWIKE GmbH)
OSCHERSLEBEN RACETRACK ecoGP
Non seulement sur les routes publiques, mais aussi sur des parcours fermés, le ecoGP , par exemple, exige de ses participants qu’ils effectuent le plus grand nombre de tours possible en 24 heures. Un parcours identique pour tous les participants sur un circuit fermé et un ensemble de règles strictes, par exemple les pilotes doivent faire une pause après 4 heures de conduite maximum, obligent pratiquement une équipe de course participante à changer de pilote, apportent une grande sécurité dans le déroulement de la course et permettent également de simuler par le calcul un résultat de course escompté. Du moins en théorie. Dans la pratique, aucun des pilotes, pour la plupart non professionnels, n’effectuera des tours aussi réguliers pendant plus de 4 heures de conduite que le légendaire pilote de course Toni Mang en son temps. Néanmoins, la simulation donne des indications importantes pour une stratégie de conduite optimale. Et le résultat de cette simulation semble déjà extrêmement prometteur pour une TWIKE 5 :
TWIKE 5 : 200 TOURS DE PLUS
Est-ce que l’équipe TWIKE Gerbil a réussi à faire la différence avec la TWIKE 3 pendant le Germany 24 Hours 2018 à Oschersleben déjà à la 8e place avec 443 tours parcourus (devant Jutta Kleinschmidt sur BMW i3s, 439 tours), la TWIKE 5 pourrait même parcourir environ 200 tours de plus dans des conditions optimales (voir illustration ci-dessus).
Pourtant, la TWIKE 3 présente déjà de bonnes conditions pour cette discipline particulière de l’ecoGP : La consommation est faible et la vitesse maximale est légèrement supérieure à la vitesse moyenne à atteindre. La puissance de charge maximale de 22 kW prescrite par le règlement a été fournie lors de la course par un chargeur externe. En revanche, le fait que la vitesse doive être réduite dans les virages et que les accélérations ultérieures consomment une énergie précieuse a eu un effet négatif sur la TWIKE 3.
TWIKE 5 : 5,3 KWH/100 KM
La TWIKE 5 pourrait réaliser un nombre de tours nettement plus élevé, car la meilleure aérodynamique et le meilleur rendement électrique du système de propulsion et de recharge intégré apporteraient des avantages décisifs en termes de consommation, en particulier dans la plage de vitesse supérieure à 60 km/h. La TWIKE 5 pourrait également réaliser un nombre de tours nettement plus élevé. Mais la stabilité de conduite, équivalente à celle d’une voiture de sport, permettrait également une conduite plus régulière dans les virages et, en raison de la vitesse moins fluctuante, une plus grande efficacité. Si l’on visait une vitesse moyenne détendue de 56 km/h, on pourrait même s’attendre à une consommation d’environ 5,3 kWh/100 km seulement (la TWIKE 3 nécessitait environ 7 kWh/100 km à vitesse réduite). Chaque 10 km/h de plus augmenterait certes le nombre de tours et donc la distance maximale parcourue dans le cadre de la course de 24 heures, mais malheureusement aussi la consommation et donc la tendance au temps passé sur la prise de recharge de 22 kW.
TWIKE 5 AT OSCHERSLEBEN RACETRACK : 1.585 KM EN 24 HEURES
Si l’on ajoute à cela le changement de pilote obligatoire et un tour non comptabilisé pour chaque arrêt au stand, la simulation donne un nombre maximal de tours réalisables de 651 pour un circuit évalué en conséquence à 1 585 km. Nous trouvons cette valeur sensationnelle, compte tenu de la puissance de charge limitée à 22 kW !